Tout pour aller dans le sens de revivre, et revivre presque mieux après le cancer
Odile G.
Il y a ceux qui font quelque chose de ce qu’il leur est arrivé, ils essayent d’y mettre du sens. Faire quelque chose de ce qui nous arrive, et même du pire, c’est sortir du rôle de victime.
Pr Cyril TarquinioPsychologie de la santé
On ne choisit pas d'être malade, mais par contre la puissance qu'on a, c'est de décider comment on va l'affronter, dans quel état d'esprit on va l'affronter
Caroline L.
Si on n'est pas soutenu, c'est pire qu'un drame, c'est l'horreur. Je ne pense pas que ce soit possible de survivre si on n'est pas soutenu
Patricia P.
Le lymphome m'a aidé à me retrouver sur ce que j'aime bien, je ne voulais pas m'installer dans un ryhme de malade, je voulais chercher un projet
Olivier P.
J'ai 39 ans plus 18. T'es malade, tu te soignes et si tu te soignes, c'est pour gagner
Christophe P.
Le travail représente un facteur de lien social, ça n'a pas de sens de nous soigner si à l'issue des traitements, on n'a plus de place dans la société
Anne-Sophie TuszynskiFondatrice Cancer@Work
Quand on a été malade, on a moins de craintes. Cette maladie m'a permis un lâcher-prise, de moins se soucier des choses quotidiennes
Réalisez ce colibri en origami et envoyez-le nous.
Colibri
Créée en 2006, France Lymphome Espoir est une association de patients et de proches concernés par un lymphome
France Lymphome Espoir
C'est une seconde vie, 10 fois mieux, je ne suis plus du tout pessimiste, le cancer m'a sauvé la vie
Marion L.
L'évolution des traitements à ce jour permet de vivre mieux, de vivre plus longtemps. Il faut vivre sa vie normalement, pleinement
Dr Anne-Sophie MichalletHématologue
J'ai une grosse majorité de patients qui me disent "mes valeurs de vie ont changé". Ils ont maintenant la capacité, grâce à ce qu'ils ont vécu de prendre du recul par rapport à certaines choses du quotidien
Gisèle CompaciInfirmière
Il est évident que la maladie déclenche ou accélère une sorte de chrono qui fait qu'on rationnalise
Camille G.
Quels que soient les diagnostics, les pires qu'il puisse y avoir, il ne faut jamais se dire "c'est fini, je laisse tomber"
Pierre B.
C'était important pour ma soeur que mes parents aillent bien. Moi j'étais là pour qu'ils aillent bien et qu'elle soit rassurée
Thomas F.
On est impuissant et en même temps on fait partie du dispositif de traitement. Les médecins se sont occupés de la maladie, moi je l'ai accompagné en tant que malade
Nathalie V.
Pour continuer à être aidant dans la durée, les aidants doivent apprendre à prendre soin d'eux, à aménager du temps pour se ressourcer le plus souvent possible
Thierry CalvatSociologue
Entre avant et après le lymphome, il y a eu ce declic, où j'ai eu envie de profiter de la vie, de pas forcément me priver de certaines choses. Par rapport au sport par exemple, je fais moins attention à ce que je mange
Antoine S.
L'expérience de la maladie nous apprend à nous rendre curieux de la vie, à nous donner envie de vivre
Benoit LornePsychologue
Quand je vois quelqu'un qui souffre, j'ai tout de suite tendance à vouloir savoir pourquoi, à l'accompagner
Nicolas J.
Retrouvez les événements organisés par nos bénévoles dans le cadre de la Journée Mondiale des Lymphomes
Evénements JMLs
La douleur est passagère, l'abandon définitif, la moindre des choses est de continuer, les distances ne seront jamais assez longues
Yves S.
Les patients sont extrémement contents qu'on s'occupe de leur après-cancer. Si on ne fait pas de programme aprés-cancer, ils n'arrivent pas à guérir tout seul
Pr Mauricette MichalletSpécialiste greffes